OBJECTIFS DE CE BLOG
À l’origine (2006) cet espace était destiné à mener une réflexion sur le rôle du blog comme espace numérique d’apprentissage (in english)
Depuis, mon travail a évolué, par phases successives, et s’est orienté progressivement mais surement vers les questions de temps et d’espace dans les dispositifs de formation.
Le numérique a modifié en profondeur le monde de l’éducation, est-ce un bien, est-ce un mal ? Vous n’aurez pas la réponse ici. Je me contente d’observer attentivement, de mon poste privilégié d’enseignant, les changements de mon métier.
Immergé dans ce grand « chambardement » je tente d’analyser quels sont les nouveaux espaces de la formation car ils sont désormais réels et virtuels (je préfère le terme dématérialisé). Nous circulons de l’un à l’autre sans pouvoir dire quel est celui qui prime. Est-il d’ailleurs besoin de créer une hiérarchie ? De l’espace institutionnel, à l’espace privé qui se professionnalise par intermittence, l’enseignant et les apprenants se projettent dans un espace augmenté.
Notre temps est lui aussi à réinterpréter. Entre temps statutaire, temps réel et l’émergence d’un temps gris que nous ne savons pas (ou ne voulons pas ?) définir, il faut continuer à enseigner et à apprendre. Ce temps qui se dilue, entre le temps de la connaissance, le temps contrôlé, le temps prélevé au « digital labor » , ne cesse de renouveler nos perspectives. Ce sont autant de champs des possibles dont il faut se saisir pour essayer de mieux comprendre ce que sont l’enseignement et l’apprentissage.
Ce blog n’apportera pas de réponses, il n’a pas cette prétention mais il tentera de poser des questions sur les transformations de la profession.
Le diaporama ci-dessous tente de synthétiser mon travail.
Bonjour,
Je découvre tardivement vos travaux, qui m’intéressent particulièrement.
Permettez-moi de vous inviter à l’inauguration du Laboratoire Virtuel de Synesthéorie, ce soir à 21 heures sur Francogrid.
https://www.facebook.com/pages/Laboratoire-de-Synesth%C3%A9orie/557429390953402
Cordialement,
Vincent Mignerot.